Citation :

PRENOM, NOM.
une petite phrase correspondant au personnage
(citation, paroles de chanson ou autre)
CREDIT ~ image.

BORN TO DIE.

▶ nom : écrire ici. ▶ prénom : écrire ici. ▶ âge : écrire ici. ▶ date et lieu de naissance : écrire ici. ▶ origines : écrire ici. ▶ statut civil : écrire ici. ▶ occupation : écrire ici. ▶ traits de caractère : écrire ici. ▶ groupe : écrire ici.

WITHOUT A WORD.

Ici c'est la partie où tu nous parles des manies, tics ou encore les habitudes de ton personnages. Un minimum de cinq points est demander mais tu peux bien sur en faire plus, ça ne fera qu'enrichir ton personnage.

Citation :

manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude ▲ manie, tic, toc, habitude

I HAVE A STORY.

Cette partie sera consacrée à la rédaction de l'histoire de votre personnage. La mise en page est totalement libre ainsi que le nombres d'anecdotes que vous décidez de nous écrire. Cependant, un minimum de vingt-cinq lignes vous sera demandé.

be human :

Citation :

Your comfortable caress has
triggered unfamiliar restlessness.
You and I are we, I feel I've lost
my individuality.
MARIA MENA ~ HOMELESS

Il y a des histoires d’amour qui sont faites pour être éternelles et d’autres pour n’être que ponctuelles. Oh bien sûr, elle savait que son comportement n’était pas le plus adapté pour une femme mariée, encore moins une femme qui se disait complètement éprise de son mari. Mais c’était vrai, elle l’aimait d’un amour inconditionnel ; dans le cas contraire, elle ne se serait probablement pas mariée avec lui bien qu’ils étaient plutôt jeunes lorsque tout cela est arrivé. « A quoi tu penses ? » A tout, à rien. A toi mon amour. Lorsqu’elle était plus jeune, Castiell ne se voyait pas vivre à plein temps avec un homme, pour la simple et bonne raison qu’elle n’avait jamais su être stable. Pas entièrement tout du moins. Du coup, quand Ioan est arrivé dans sa vie, elle avait eu envie de prendre la fuite, de ne jamais regarder en arrière et surtout, de ne pas avoir envie de le faire. Contre toute attente, il avait su attirer son attention, à la faire rester sur place et depuis donc, elle n’avait jamais bougé d’emplacement. Elle se souvenait parfaitement de leur rencontre, comme si elle avait lieu la veille. Il était beau, elle était plutôt jeune et insoucieuse. Ils n’étaient sans doute pas faits pour s’entendre en premier lieu, mais à force de paroles, de mots et de petites attentions, ils ont fini par comprendre que peu importe les proverbes, peu importe ce que les autres peuvent faire comme pronostics, il faut toujours croire en soi. Et dans ce cas présent, en eux. « Tu te souviens de notre premier baiser ? » Il lâcha un petit rire, suivit d’un sourire charmeur avant d’approcher Castiell un peu plus près de lui. Dans ses yeux, elle comprenait clairement que c’était le cas, qu’il en avait des souvenirs et sans doute pas aussi vagues qu’il le laisserait croire en premier lieu. Il y avait une part mystérieuse en lui, quelque chose qu’elle n’avait jamais réussi à comprendre ou à identifier clairement. Dans un sens, ça le rendait craquant mais dans un autre, elle avait la sensation de ne pas connaître vraiment l’homme avec qui elle vivait. « Il faisait beau soleil et tu ne voulais pas sortir parce que tu étais certaine qu’il allait pleuvoir d’un instant à l’autre. Tu n’as jamais aimé le soleil n’est-ce pas ? » Elle haussa les épaules, on ne peut plus d’accord avec ces paroles-là. Le soleil n’a jamais eu d’effets bénéfiques sur sa peau malheureusement, beaucoup trop blanche à son goût par la même occasion. « Non, mais tu ne peux pas dire que j’ai eu tort. Il a plu ce jour-là. » Il sourit de plus belle, prenant la main de la jeune femme. Se remémorer des moments passés peut parfois faire du bien ; notamment lorsque l’on se rend compte, combien ils n’ont pas su se dégrader avec le temps. De son point de vue, ils n’ont jamais été malheureux ensemble. Cette entente sur le mariage libre paraissait leur aller à l’un comme à l’autre jusqu’à présent. « On s’est abrité sous cet arbre, je t’ai serré contre moi parce que tu tremblais, tu n’arrêtais pas. Par contre, j’avais l’impression que tu t’en fichais complètement, que tu ne remarquais même pas que j’étais entrain de m’approche de toi histoire de te faire céder. Toute cette tension entre nous me rendait fou. La seule chose que tu disais ‘mes cheveux, mon dieu.’ Je ne t’ai jamais trouvé aussi belle, je crois. » Ce souvenir était beau, il leur appartenait et personne n’avait été là pour gâcher cet instant. Oh oui, Castiell s’en rappelait très bien. Son cœur battait tellement vite qu’elle avait cru en perdre la raison ; trop fière pour le lui montrer, elle avait feint de telle manière à ce qu’il ne se rende compte de rien. Plusieurs années plus tard, on en parle comme si ce n’était rien mais au moment présent, tout nous paraît tellement irréel, insensé que l’on ne plus réfléchir. La raison perd tout son sens. « Tu as tourné ton visage vers moi, tu devais sentir que j’étais entrain de te regarder … » Et sa main s’est posée contre visage, lentement, laissant la trace d’une délicate caresse. Ses joues étaient dès lors empourprées, incapable de se contrôler. Elle s’attendait à quelque chose, à ce qu’il agisse mais stupidement, elle avait dépose un baiser contre ses lèvres. Un bref baiser, qui a duré à peine une seconde. Tout sourire, il s’était de nouveau rapprocher d’elle, osant cette fois dépasser la barrière de ses lèvres pour une durée qu’eux seuls connaissent.

Citation :

i don’t wanna run, i don’t wanna hide
when someone needs somebody
i don’t wanna say, i don’t got the time
when someone needs somebody
with a little faith and a little soul
we can’t go wrong
THE VISION OF LOVE ~ KRIS ALLEN

Ils ne savaient pas où cette relation allait les mener, peut-être directement dans un cul de sac, peut-être aux portes du paradis. Selon Castiell, la première option était la plus plausible dans le sens où elle n’était pas prête de quitter Ioan pour un autre, pour un amant qui plus est, bien qu’elle tienne beaucoup à lui. Même l’affection n’est pas suffisante quand l’amour est là ; il est plus fort que tout n’est-ce pas ? « Pourquoi tu es avec moi Castiell ? » Ils ne se tenaient jamais la main lorsqu’ils sortaient en ville et si, par malheur, elle croisait son mari en ville, elle prétendait toujours qu’il ne s’agissait que d’un ami. De toute évidence, ils ne laissaient rien paraître ou bien Ioan était trop naïf pour se rendre compte qu’elle était entrain de lui mentir. « Parce que je tiens à toi, tout simplement. Je veux dire, t’es vraiment génial avec moi, compréhensible, tout le temps et il y a quelque chose en toi qui me plaît, qui me donne envie de passer du temps en ta compagnie. » Il esquissa un léger sourire. A la terrasse de café, la jeune femme parlait doucement pour que personne autour ne l’entende. Elle n’avait pas honte de sa relation avec lui, ni même de ce qu’ils entretenaient au fond, mais elle n’était pas prête à se montrer. Par respect pour son mari surtout. Elle n’était même pas certaine que de son côté, il entretenait une relation avec quelqu’un. Pourtant, il y a un problème ; si jamais X lui demandait de faire un choix, elle serait surement obligée de laisser cette relation sur le carreau. Elle aimait Ioan et n’était pas prête à aller vers un autre homme quand le premier l’a aidé à oublier sa situation familiale plus que désastreuse. « Mais je suis le maillon faible n’est-ce pas ? Quelqu’un dont tu te ficheras d’ici quelques années. Je ne serais qu’un reflet de ton histoire, une impasse. » La jeune femme ferma les yeux un instant avant de poser sa main contre la sienne, cette fois-ci ne faisant pas attention à ce que quelqu’un les voit. « Arrête de dire ça. » Elle ne savait pas quoi lui dire d’autre. Qu’est-ce qu’elle pourrait faire pour lui réchauffer le cœur ? Lui dire d’aller voir une autre femme et de voir si le bonheur existe autre part pour lui ? Un jour, oui, elle finirait surement par le perdre, ne serait-ce qu’à cause de sa sœur. « Qu’est-ce que je dois arrêter au juste ? De coucher avec toi ? De te faire sentir différente quand t’es avec moi ? Dis-moi, sérieusement. » La situation devenait de plus en plus embarrassante entre les deux, surtout qu’ils étaient en public. « Arrête, s’il te plait. Les gens nous regardent. » Brusquement, il se leva de la table, manquant de faire renverser son verre au passage. « Je m’en fiche des autres, tu comprends ? Je veux juste être avec toi et ne pas avoir à me cacher. C’est ça que je veux et si t’es pas capable de le comprendre, alors tant pis pour nous. » Il posa un billet sur la table avant de s’en aller et de laisser Castiell là, avec toutes ces questions. Est-ce qu’elle comprenait vraiment l’ampleur que prenait leur relation ?


« Ecoute, je sais que t’es là. S’il te plait, ouvre-moi. » Castiell restait pendue derrière la porte de son appartement, espérant qu’il l’ouvrirait d’une seconde à l’autre. Jamais encore ils n’avaient eu une dispute de ce genre, la jeune femme pensant que les choses étaient claires depuis le début. Comment lui expliquer alors qu’elle ne pourrait jamais le choisir ? Pas seulement par amour, mais par respect, par fierté, par tous ces adjectifs qui font qu’elle sera éternellement reconnaissable envers Ioan. « Je ne vais pas abandonner. » Elle avait employé un ton dur, sévère presque et sûr d’elle jusqu’au bout. Il n’y avait aucun bruit de l’autre côté, comme s’il n’était vraiment pas là. Elle s’en voulait terriblement de ne pas avoir su réagir comme elle aurait du sur la terrasse du café. Depuis qu’ils avaient commencé cette relation il y a un an, elle l’avait tenu au courant de toutes les conditions que cela amenaient à respecter. Alors pourquoi aujourd’hui la situation était-elle donc différente ? « Tu devrais t’en aller Castiell. » Elle se retourna et vit qu’il était là, juste derrière. Donc, depuis tout à l’heure, elle ne faisait que parler à une stupide porte, à l’écoute de tous les voisins. Heureusement qu’elle ne s’était pas confessée ou quelque chose dans le même genre. « J’ai pas envie de m’en aller. J’ai besoin de te parler. » Il soupira et ouvrit la porte sans un mot. Il la laissa rentrer, comme par habitude sans doute, et resta planter là, sans même retirer sa veste, les bras croisés contre son torse. « D’accord … Je vois que je n’ai pas trop le choix. » En même temps, elle était là pour lui parler non ? La jeune femme remarqua dans un même temps qu’elle n’avait jamais été aussi stressé de toute sa vie ; ce qu’elle allait dire pouvait avoir des conséquences dramatiques. Pour elle ou pour lui, ou pour tous les deux. « Je sais que je suis stupide, que je te demande beaucoup de choses mais crois-moi, si je pouvais faire les choses différemment, je le ferais. Seulement, voilà, je ne peux pas toujours tout contrôler et je ne sais pas quoi faire de notre relation si elle est là pour te blesser. » Il voulait l’interrompre, probablement blessé par ce qu’elle venait de dire, mais elle reprit aussitôt, ne lui laissant pas d’autre choix que d’écouter. « La vérité c’est que je t’aime beaucoup et que je voudrais passer du temps avec toi, beaucoup plus encore. Je voudrais te connaître comme ma poche, être sûre que je ne te déçois pas et que tu me dises que je suis belle parce que tu le penses vraiment. Je voudrais avoir le temps de t’embrasser, de te caresser devant un film, aller au cinéma avec toi et manger dans ton paquet de pop-corn … Mais je l’aime. » Il baissa la tête. Au début, il était on ne peut plus heureux d’entendre de telles paroles de sa part mais la fin l’avait complètement achevé. « Je suis désolé, Castiell, que tu ne sois pas capable de faire un choix. Tu veux tout, sans jamais en payer le prix mais ça ne marche pas comme ça. Alors tant que tu ne seras pas décidée, on ne se verra plus. » Un coup de couteau qui lui transperce le cœur, l’impression de tomber à la renverse. « Très bien, comme tu veux. »

Tu vas perdre contre moi. Je passe le plus clair de mon temps à me dénigrer. C'est ma passion.

Qu'est-ce qui pourrais m'empêcher de continuer ? Si tu me trouves un Penn à domicile, je me tairais avec plaisir.

Eh mad'moiselle t'es charmante ça te dirait une glace à la menthe ?
FEMME, MA PLUS BELLE, J'AI ENVIE DE TE FAIRE L'AMOUR SUR LA PLAGE AU COUCHER DE SOLEIL ET QUE NOS BEBES SOIENT LES PLUS BEAUX DU MONDE.
(faut quand même qu'on parle de ce nom de famille là. )

Merci, je me kiffe aussi.