⊰ the universe and you

Citation :: HOUNA, DELAUNEY.
Réussir ce n'est pas toujours ce qu'on croit. Ce n'est pas devenir célèbre, ni riche ou encore puissant. Réussir c'est sortir de son lit le matin et être heureux de ce qu'on va faire durant la journée, si heureux qu'on a l'impression de s'envoler. C'est travailler avec des gens qu'on aime. Réussir, c'est être en contact avec le monde et communiquer sa passion. C'est trouver une façon de rassembler des gens qui n'ont peut-être rien d'autre en commun qu'un rêve. C'est se coucher le soir en se disant qu'on a fait du mieux qu'on a pu. Réussir c'est connaître la joie, la liberté et l'amitié. Je dirais que réussir, c'est aimer
FUCKYEAHIMOGENPOOTS TUMBLR ~ image.

BORN TO DIE.

▶ nom : DeLauney ▶ prénom : Houna ▶ âge : 22 ans. ▶ date et lieu de naissance : 2 avril 1990 à Dantzig, Pologne. ▶ origines : Polonaise et Américaine. ▶ statut civil : Célibataire. ▶ occupation : Travail dans une boutique de vêtements. ▶ traits de caractère : franche, sûr d'elle, extravertie, directe, déterminée, têtue, colérique, impatiente, discrète, solitaire, sensible, voleuse, méfiante, curieuse, drôle, souriante, renfermée, mystérieuse. ▶ groupe : keep breathing.

WITHOUT A WORD.

Ici c'est la partie où tu nous parles des manies, tics ou encore les habitudes de ton personnages. Un minimum de cinq points est demander mais tu peux bien sur en faire plus, ça ne fera qu'enrichir ton personnage.

Citation :: Houna est née en Pologne, à Dantzig. En effet, ses grand-parents maternels y sont originaires, et les parents de la belle y étaient en voyage. Sa mère à accouché là-bas, et Houna parle très bien la langue. ▲ Ses parents vivaient à Seattle, ils y sont donc retournés après sa naissance. Peu de temps après, son père a trouvé la mort dans un accident de voiture. Elle n'a plus aucun souvenir d'elle, cependant sa mère s'est remariée quelques années après avec un Mexicain qui vivait à Mexico, elles et son grand frère Jan sont donc aller vivre là-bas. ▲ Depuis son adolescence, Houna est la reine de la fête, ça doit être de famille car Jan aussi. ▲ La jeune femme parle anglais, polonais et espagnol, et elle est très douée à l'école, elle a tout de même arrêté s'en trop savoir pourquoi, et aimerait aujourd'hui reprendre. ▲ Houna se droguait de temps en temps, mais ça c'était avant que Jan meurt d'une overdose. Elle l'a très mal vécu, c'était comme un jumeau pour elle, et elle culpabilise de ne pas l'avoir aidé avant qu'il ne soit trop tard. ▲ Elle aime les sensations fortes, elle a déjà essayé le carting ou le saut en parachute pour calmer ses pulsions. ▲ La jeune DeLauney est kleptomane, c'est-à-dire qu'elle ne peut pas s'empêcher de voler. Maladie qui l'a conduite au bureau de police plusieurs fois. La dernière en course lui a d'ailleurs valu un travail. ▲ Elle vit en colocation avec deux amis à elle, des drogués qui ne veulent rien faire de leur vie et qui ont une mauvaise influence sur elle. ▲ Houna fume comme un pompier, et ne compte pas arrêter. ▲ Avant d'arrêter ses études, elle était en première année de droit. Elle regrette énormément, car c'est ce qu'elle a toujours voulu faire. ▲ Complètement dingue de mode, la jeune femme a des centaines d'habits et d'accessoires qu'elle adore et connait par coeur. ▲ Elle est très proche de sa mère et de son beau-père qu'elle considère comme son père, surtout depuis la mort de Jan. ▲ Malgré son aptitude à faire la fête, Houna est vraiment quelqu'un de renfermé, discret et très mystérieux. Elle n'exprime jamais ses sentiments, il est difficile de savoir ce qu'elle pense. ▲ La belle blonde est censée porter des lunettes, mais elle trouve que ça ne lui va pas, alors elle ne les met jamais. ▲ Houna a une superbe voix, elle a d'ailleurs chanté dans la comédie musicale de son lycée. ▲ Si il y a bien une chose qu'elle aime, ce sont les enfants, elle les trouve adorable et tellement compréhensif. ▲ Houna ne boit que de l'eau, des soda de temps en temps, mais ni café, ni alcool.

be human :

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I HAVE A STORY.

La fumée transforma peu à peu l'appartement, anciennement moderne et propre comme une chambre d'hôpital, en une demi usine. C'était toujours comme ça les samedis soirs, une soirée entre ami où j'avais la chance d'être invitée grâce à mon frère Jan, qui était surement le garçon le plus populaire et le plus envié du lycée. Il se trouvait toujours aux meilleures soirées, sans jamais en organiser, nos parents étant stricte là-dessus. Je me trouvais dans un coin, entre le bar où se trouvait des dizaines de bouteilles d'alcool -chose que je ne consommais, ma première cuite ayant été un drame puis ce que j'avais fini la soirée dans la baignoire de la fille que je déteste le plus au monde- d'un côté, et un couple se roulant des pelles depuis un quart d'heure, de l'autre. Je priais pour que quelqu'un vienne me sortir de là, mais j'étais trop timide pour aller vers quelqu'un. "Tu vas rester là longtemps ?" Me demanda Mason, le meilleur ami de mon frère, dont j'étais folle amoureuse secrètement. Quoi que ça se voyait, comme je rougissais à chaque fois qu'il venait vers moi. "Je suis bien là, à côté du bar." Répondis-je en souriant, montrant en même temps fièrement un gobelet de ice tea qui pourrait peut-être se faire passer pour du whisky. "C'est du ice tea ça ma belle." Loupé. Néanmoins, j'avais remarqué le ma belle qu'il avait placé à la fin de sa phrase, ce qui eu le don de me faire rougir. Une nouvelle fois. Je plongeais mon regard dans ses yeux, prête à répondre quand j'entendis un cri provenant de la pièce voisine. Une jeune femme sortie, Betty l'autre pétasse que je ne supportais pas, affolait. "C'est Jan, il ne bouge plus !" S'ecria t-elle. Mason me lança un regard inquiet, je posais mon verre avant qu'il me prenne la main et m'entraine dans la chambre où une masse c'était faufilé. "Appelez une ambulance, y'a plus d'pouls !" Je restais figé, impossible de bouger, tétanisé devant mon frère, inconscient sur un lit. Je commençais à frissonner de peur, Mason m'attrapa et me prit dans ses bras. Je ne pleurais pas, j'avais encore de l'espoir. Il ne pouvait pas finir comme ça pas lui, c'était mon héros, mon modèle. Deux heures plus tard, j'apprenais qu'il avait fait une overdose du à toute la drogue qu'il avait reniflé. Le pire dans cette histoire, c'est que je le savais, mais je n'avais rien fait pour lui en empêcher, pensant qu'il savait ce qu'il faisait, que ce n'était pas dangereux. J'aurais pu l'aider à s'en sortir, à ne pas mourir. Mais Dieu avait voulu me retirer la chose que j'aimais le plus au monde, et ça je ne lui pardonnerais jamais.

Je ne savais pas quoi dire. Je n'avais pas peur, j'avais déjà été trop de fois dans cette situation pour avoir désormais l'habitude, c'est juste que je n'aimais pas attendre. J'étais plantée sur cette chaise depuis déjà trop de minutes à mon goût, sans dire un mot, attendant patiemment que la jeune femme devant moi parle la première. Elle brune, devait être à peine plus âgée que mois, avait le goût pour la mode et était certainement d'une grande patience. Elle attendait peut-être que je m'excuse, qu'elle idée j'avais eu aussi de venir voler des habits dans sa boutique. C'était trop facile, j'aurais du m'en douter. Un jour ma kleptomanie me conduira droit derrière les barreaux. Et je redoute ce jour. Je soufflais, la regardant dans les yeux. "Désolé. J'ai vu la porte ouverte et personne à l'intérieur, j'ai été tenté." Je le pensais sincèrement, même si mon ton n'en avait pas l'air. J'étais complètement ratée. Je n'avais pas de travail, je vivais dans un appartement merdique avec deux drogués, j'avais arrêté mes études sur un coup de tête, plus le temps avancé, et plus je touchais le fond. Tout ça depuis la mort de Jan, je m'en voulais tellement de l'avoir laisser faire que j'avais plaqué ma vie parfaite. Mais je me sentais encore plus détruite qu'avant. "Je vous en supplie, ne prévenez pas la police, je ferais n'importe quoi pour vous, mais je risque d'être coffrée !" Cette fois-ci mon ton était vraiment suppliant, comme si je demandais une seconde chance à la vie. La belle brune en face de moi se leva de sa chaise fit quelques pas et se retourna vers moi. "Très bien. Je ne préviens pas la police, à une condition, tu travailles pour moi." Dit-elle d'une voix sure d'elle qui me mettait très mal à l'aise, me sentant encore plus inférieur que je ne l'étais déjà. "Ici ? Avec vous ?" Demandais-je comme pour être sure d'avoir bien entendu. Elle acquiesça en souriant, fière d'elle. Je souris à mon tour, me levant, et lui serrant la main comme pour conclure un accord. Je voyais ce travail comme une chance de refaire ma vie, de ne pas sombrer et couler, de remonter à la surface et combattre la souffrance. J'aurais donné n'importe quoi pour ne plus être la fille paumée et détruite que je suis actuellement, et peut-être que mon vœux de changer de vie venait de se réaliser.